Passation de pouvoir au ministère de la Culture

Passation de pouvoir au ministère de la Culture

La passation de pouvoir au ministère de la Culture s’est déroulée dans un climat de contraste entre l’ancienne ministre déchue et sa nouvelle remplaçante. Rima Abdul Malak, l’ancienne ministre limogée, a quitté la salle sous les applaudissements de ses collègues, alors que Rachida Dati, sa remplaçante, est restée seule dans un coin, tapotant sur son téléphone pour éviter les regards. Cette transition s’est déroulée dans une atmosphère de violence dissimulée par des propos bienséants, mettant en lumière les codes de la comédie du pouvoir dans les sphères politiques.

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Parlant de son bilan, Rima Abdul Malak a réaffirmé sa liberté de parole et a exprimé son engagement envers la défense de la culture ouverte et vivante. Elle a également livré un discours politique en critiquant ceux qui l’accusent d’avoir été trop technique et pas assez politique. En revanche, la nouvelle ministre, Rachida Dati, a prononcé un discours convenu, mettant l’accent sur sa volonté de rendre la culture accessible à tous, y compris dans les quartiers populaires.

Cette passation de pouvoir au ministère de la Culture a mis en lumière la brutalité et la rapidité avec laquelle le pouvoir peut changer de mains. Les prises de position politiques de Rima Abdul Malak ont apparemment joué un rôle dans son limogeage, ce qui soulève des questions sur la liberté de parole et les prises de position des ministres au sein du gouvernement.

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